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10 femmes - 10 hommes

Les gérontes et le petit fils du sage voyant

Nous sommes en plein milieu d’une guerre sans merci, atroce et sanglante. Le sage voyant dort à proximité de son protégé petit fils qui venait de perdre son père. Traitreusement étranglé par les mains d’un groupuscule de sanguinaires, activant en secret dans quelques pays limitrophes. Au-delà des frontières, ils guettent la délivrance à l’intérieur. Un cessez-le-feu pour perpétrer l’assaut funeste et accaparer le butin de guerre. Sans état d’âme, ils trucident tous ceux et toutes celles qui prétendent faire barrage à leurs vils caprices. Leur dessin, clairement obscur, leur miséricorde sans clémence ni cœur, s’emparer du trône à tout prix, afin de sévir sous prétexte de servir.(….) Mais l’aube de la victoire se lèvera-t-il sur leur horizon ? Les sacrifices consentis seraient-ils récompensés ? La lumière de l’espoir parviendrait-elle à percer les ténèbres qui les entouraient ? Et si la lutte s’avérait vaine, quelles conséquences cela aurait-il sur ceux qui osaient rêver d’une vie digne ?

Les gérontes et le petit fils du sage voyant

Nous sommes en plein milieu d’une guerre sans merci, atroce et sanglante. Le sage voyant dort à proximité de son protégé petit fils qui venait de perdre son père. Traitreusement étranglé par les mains d’un groupuscule de sanguinaires, activant en secret dans quelques pays limitrophes. Au-delà des frontières, ils guettent la délivrance à l’intérieur. Un cessez-le-feu pour perpétrer l’assaut funeste et accaparer le butin de guerre. Sans ;état d’âme, ils trucident tous ceux et toutes celles qui prétendent faire barrage à leurs vils caprices. Leur dessin, clairement obscur, leur miséricorde sans clémence ni cœur, s’emparer du trône à tout prix, afin de sévir sous prétexte de servir.

Les gérontes et le petit fils du sage voyant

Nous sommes en plein milieu d’une guerre sans merci, atroce et sanglante. Le sage voyant dort à proximité de son protégé petit fils qui venait de perdre son père. Traitreusement étranglé par les mains d’un groupuscule de sanguinaires, activant en secret dans quelques pays limitrophes. Au-delà des frontières, ils guettent la délivrance à l’intérieur. Un cessez-le-feu pour perpétrer l’assaut funeste et accaparer le butin de guerre. Sans état d’âme, ils trucident tous ceux et toutes celles qui prétendent faire barrage à leurs vils caprices. Leur dessin, clairement obscur, leur miséricorde sans clémence ni cœur, s’emparer du trône à tout prix, afin de sévir sous prétexte de servir.

Cap sur ALTAÏR

Au XXVe siècle, dès la découverte de la propulsion luminique, un vaisseau spatial, Le Colonia, emportant 626 jeunes gens (moitié hommes et femmes et de toutes origines ethniques) + un androïde, s’enfonce dans l’espace pour un voyage de 17 ans vers la constellation de l’Aigle et, plus précisément, le système de l’étoile Altaïr. Malgré le foisonnement d’exoplanètes repérées depuis la Terre, le voyage reste hasardeux, et ceux qui y participent n’ont aucune assurance d’y trouver une planète d’accueil. Après 22 mois de voyage (1/8ᵉ), la période des doutes s’installe et les restrictions imposées à bord commencent à se faire pesantes. L’usage d’appareils hypnotiques sensés réguler les comportements ne semble plus suffisant. Une révolte gronde. Certains militent pour un retour sur terre. Le capitaine a bien du mal à garder le contrôle et franchira la ligne rouge pour garder le cap sur Altaïr.

Deux fins sont proposées, au choix de la troupe ou du metteur en scène.

Cette pièce pourrait intéresser un club de théâtre d’un lycée où il y aurait un brassage de différentes origines ethniques. Il y a de l’action à la fin avec la mutinerie, de la figuration, beaucoup de rôles sont interchangeables. Les scènes de la soirée dansante ou des deux conférences peuvent faire participer beaucoup de personnes, créant des vocations à l’expression théâtrale.
Bon voyage.

Molière en urgences

Une metteur en scène et sa troupe d’acteurs trouvent, grâce à la complicité de deux infirmières, un lieu de répétition dans un local situé dans un hôpital. C’est le point de départ d’une folle comédie où docteurs, malades, père avare, se croisent et s’affrontent dans un tourbillon incessant, sous l’œil du Docteur Leroy, grand mandarin, personnage imbu de lui-même et dont les décisions burlesques vont endiabler le spectacle.
Outre ses ballets, sa musique et ses chansons (de Lully), cette comédie est écrite… avec les mots de Molière… En effet on découvre divers personnages des comédies de Molière dans des situations totalement détournées et c’est un plaisir de retrouver les répliques connues adaptées à d’autres situations. Et on constate que l’on peut faire dire aux mots tout autre chose en les sortant de leur contexte. Un hommage à l’œuvre de Molière et à sa fantaisie qui réjouit tout public.

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