7 femmes - 7 hommes

Miracle au couvent de Sainte Marie-Jeanne

À la boutique du couvent dont les ventes financent les bonnes œuvres des Sœurs, le célèbre Élixir de Sainte Marie-Jeanne aux nombreuses vertus ne fait plus recette. Jusqu’au jour où une Sœur a l’idée d’ajouter une herbe mystérieuse à la préparation. Le succès du nouveau cordial est stupéfiant. Le dernier miracle de Marie-Jeanne ?
(Il existe une version masculine de ce texte : Miracle au monastère de Sainte Marie-Jeanne)

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Disparitions sur scène

Le détective Paul X est sollicité par la direction d’un théâtre pour retrouver deux personnages qui ont disparu mystérieusement. Il mène son enquête en interrogeant tout le personnel du théâtre. Il découvre que chacune ou chacun des protagonistes a pu faire disparaître les personnages. Mais pour quelles raisons ? C’est à cette enquête dans les

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Aïe ! Aïe ! Aïe ! Ma mère !

Pour Louis-Achille, industriel et grand bourgeois parisien, la vie n’a rien d’un long fleuve tranquille. Tout commence en 1953 en Algérie où, venu pour affaire, il est malgré lui l’instrument de la vengeance de Massimo, coiffeur italien cupide et libidineux aux dépens des Villanova, modestes producteurs de clémentines. Sa situation se complique jusqu’en 1966 lorsque tout ce petit monde se retrouve dans son manoir de Sologne au moment où il reçoit Mme Mac Ferson, une cliente américaine très importante. Mais ceci n’est rien comparé à ce qui l’attend en mai 68, le jour du mariage forcé de sa fille aînée avec le fils un tantinet demeuré de Massimo. Il devra alors affronter les menaces de ce dernier, les frasques de Jeanine Villanova devenue folle, les humeurs de ses filles, les révélations de son épouse et, cerise sur le gâteau, l’invasion de ses pelouses par deux mille de ses ouvriers représentés par deux virulents syndicalistes, le tout en essayant de signer de juteux contrats avec Mme Mac Ferson. Il ne pourra guère compter sur l’aide de Marcel Kamoun, frère de Jeanine et sorte de Géo Trouvetout incompris qui déploie tout au long de cette comédie endiablée, l’énergie d’une limace neurasthénique.
On rit de la première à la dernière réplique dans cette pièce aux multiples rebondissements et facile à monter dans la lignée de “T’emballe pas”, “Zorghol 707” ou encore “Colonel Betty”.

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