L’encaisseur
Un homme endetté jusqu’au coup voit arriver chez lui un tueur qui lui demande des comptes. Il est un peu embêté
Un homme endetté jusqu’au coup voit arriver chez lui un tueur qui lui demande des comptes. Il est un peu embêté
Dans un château de province, une marquise rêve d’aller à Versailles. justement, un maître des étiquettes est de passage et se jure de réussir à l’y envoyer ainsi que son mari, lequel n’est pas du tout enchanté par cette idée.
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New-York, 1927
L’Amérique, en pleine prohibition, a vu fermer le légendaire Cotton Club. Alors que son propriétaire est emprisonné à Sing Sing pour trafic et vente d’alcool; sa fille Charlie Madden organise encore des soirées clandestines dans le sous-sol du bar. Dans une ambiance fumeuse et jazzy, de singuliers noctambules s’y fréquentent. C’est le cas du Maire Jimmy Walker, de la célèbre actrice Mae West, et de l’agent de police corrompu Glenn Dunnegan. Par une chaude soirée d’été, tous attendent avec impatience l’arrivée du livreur-contrebandier Ted Pescy, mais les événements vont prendre une tournure à laquelle personne ne s’attend…
Je n’irai pas à Sing Sing Read More »
Sophie et Georges subissent une crise profonde dans leur couple. Ils espèrent en partant en vacances en Espagne, se retrouver. Ils font une halte dans un charmant petit hôtel près de St Jean de Luz, face à la mer. Georges y retrouve Jean-René, un ancien collègue et Marguerite, une parente disparue depuis des années. Tout
Hôtel du grand large : comédie Read More »
Des quiproquos et des ambiguïtés comme s’il en pleuvait !
Il faut dire que si les Franco-Canadiens ont le même vocabulaire que les Français de France, les mots ne veulent pas toujours dire la même chose et ça conduit à des situations ubuesques.
Si vous allez au Canada et que vous parlez de vos enfants, faites attention à ce que vous dites car c’est un truc à se prendre une gifle. Côté Français, les policiers sont des « poulets ». Au Canada, ils deviennent des « cochons ». Les chauves, ont des mouchodromes et eux ont des patinoires à poux. Etc.
Le seul petit souci, c’est Jeanne qui est somnambule. C’est quelquefois gênant. Voire désagréable…Quand ce n’est pas plus…
Elles ont prévu, comme chaque premier jeudi du mois, de se retrouver chez Claire, pour préparer leur fête de la « sainte Goulwena ». Goulwena, comme chacun le sait (enfin presque) est, prétendument, la sainte patronne de ceux qui ont des amis outre Atlantique en France et vice versa. Et même si ce n’est pas très vrai, elles ont décidé que ça le serait quand même.
Par contre, c’est la première fois qu’elles se retrouvent dans ce tout nouvel appartement qu’occupe Claire, puisqu’elle vient juste d’y emménager. Appartement qui, il est important de le préciser était, récemment encore, celui de Jeanne. Jeanne étant partie loger dans celui qui se trouve juste en face et sur le même pallier.
Jeanne semble avoir des pertes de mémoire. Et, de fait, lors de ses séances de somnambulisme, il n’est pas rare du tout qu’elle débarque à l’improviste et fasse n’importe quoi chez Claire, dans son ancien appartement !
Nous avons Juliette, venue de France et de sa région du Perche, en Normandie, qui vient juste de rejoindre le groupe. Juliette ne comprend pas toujours bien toutes ces expressions canadiennes… d’où des confusions parfois hilarantes !
La patinoire à poux Read More »
Après s’être séparé de Soaz avec qui il a vécu de belles années de vie commune, Alexis est resté quelque temps seul.
Le hasard lui a fait rencontrer Goulwena d’une façon très inopportune. C’est en renversant maladroitement son verre de Coca sur son chemisier qu’il l’a vue pour la première fois. D’ailleurs Goulwena lui avait mis en pleine tête sa gaufre au chocolat pour lui exprimer sa colère, puis était partie immédiatement. Ils ne se connaissaient même pas. Juste un coup du destin.
Plus rien maintenant ne peut plus les séparer ces deux-là. Ils s’entendent si bien ! Ils s’aiment.
Aujourd’hui, depuis presque deux heures Alexis essaie vainement de joindre Goulwena sur son téléphone portable. Habituellement, elle répond immédiatement ou rappelle très rapidement.
Entre le samedi fin de matinée et le dimanche matin, voici la lente descente aux enfers d’Alexis. Il va décou-vrir, progressivement, que Goulwena ne donne plus signe de vie. Elle a été kidnappée. Etait-elle au mauvais endroit, au mauvais moment. Sa ressemblance avec une autre jeune femme en est-elle la cause. L’objet du crime supposé : une ran-çon ? L’anéantissement, la stupeur puis l’horreur pour quel dénouement ?
Le noir absolu. Betty, Katell et Jef sont là. Ses vrais amis. Quand le malheur est là, le doute s’installe aussi. Faut-il vraiment avoir une confiance aveugle en ses amis ? Une commissaire très stricte et un maire très mal à l’aise et malhabile sont là pour soutenir Alexis. Chacun selon son métier.
Alexis ira jusque dans la salle au contact du public pour lui communiquer sa détresse au travers de la photo de Goulwena, sa belle aimée.
BUREAU DE FEMMES ou DÉJÀ, MIDI MOINS L’QUART ?!? Comédie en un acte de Francis POULET 4 f. – 2 h. – Durée : 30 mn Un lundi matin, dans un bureau d’une Caisse de Retraite, où travaillent 4 femmes… Les discussions vont bon train. Chacune ayant quelque chose à raconter après le week-end. Il
Bureau de femmes ou Déjà, midi moins l’quart ! Read More »
Un lundi matin, dans un bureau d’une Caisse de Retraite, où travaillent 4 femmes…
Les discussions vont bon train. Chacune ayant quelque chose à raconter après le week-end. Il y a là, “Titine”, “Maman”, “Mado” et “Nini”… Les petits froids – les coups de gueule- les moqueries – les fâcheries – les bouderies – les jalousies – les potins – les piques – les maris – les amours – les fringues.. “Le Chéfaillon”, “La Bidouille”, et un final en apothéose !… Mais!! il est “déjà, midi moins l’quart ?!?”… Tout ce qui fait le formidable succès du style satirico-comique, propre à Francis Poulet, se trouve réuni dans cette petite comédie.
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New York, 1878.Assoiffé de progrès, le couple Edison multiplie les inventions révolutionnaires. Mais Thomas Edison, insatiable, poursuit désormais un rêve : celui d’éclairer le monde en devenant le maître de l’électricité…À sa grande surprise, le génial inventeur n’est pas seul dans la course. L’excentrique Nikola Tesla et, surtout, l’ambitieux couple Westinghouse sont eux aussi bien
Nous étions la forêt est une fresque musicale du jeune XXIe siècle pour six comédien·nes qui interroge par la parole, la fiction participative et la chanson la façon dont la vulnérabilité des écosystèmes forestiers, face à la catastrophe climatique, raconte nos sociétés contemporaines et nos propres rapports à l’épuisement des / de nos ressources. Elle
Nous étions la forêt suivi de Le dieu des causes perdues Read More »