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Entre 1h et 1h29 min.

Je n’irai pas à Sing Sing

New-York, 1927

L’Amérique, en pleine prohibition, a vu fermer le légendaire Cotton Club. Alors que son propriétaire est emprisonné à Sing Sing pour trafic et vente d’alcool; sa fille Charlie Madden organise encore des soirées clandestines dans le sous-sol du bar. Dans une ambiance fumeuse et jazzy, de singuliers noctambules s’y fréquentent. C’est le cas du Maire Jimmy Walker, de la célèbre actrice Mae West, et de l’agent de police corrompu Glenn Dunnegan. Par une chaude soirée d’été, tous attendent avec impatience l’arrivée du livreur-contrebandier Ted Pescy, mais les événements vont prendre une tournure à laquelle personne ne s’attend…

C’était pas le but

Sylvie et Max Un couple récemment muté dans une ville de l’est prévoit une soirée foot rencontre PSG OM, avec Roger le frère de Sylvie et Françoise sa femme. Pour l’occasion ils ont acheté un téléviseur grand écran. Un violent orage, causant des embouteillages monstres, Roger et Françoise sont en retard. Une partie de la ville sera inondée isolant le quartier de Sylvie et Max, dans lequel a eu lieu un braquage du supermarché. La télécommande du téléviseur ne fonctionne plus. Un voisin amateur de foot, Marcel, les dépanne et s’invite. Il est supporter de l’OM et les autres du PSG. Le livreur de pizza en retard également, Marcel, le voisin, demande à sa femme, Micheline, de les rejoindre et d’apporter de quoi boire et manger. Le livreur de pizza arrive alors, mais revient apres quelques minutes car on lui a volé son scooter et compte tenu de la météo demande de l’héberger en attendant qu’un copain vienne le rechercher.
Le match est nul et la mi-temps permet de déguster un en-cas convivial proposé par Micheline la voisine. A la reprise le match est annulé en raison des conditions météo. Max déclare qu’il ne suit les matchs que par convivialité avec ses collègues sous ses ordres. Roger pour faire plaisir à son beau frère et le voisin parce qu’il fait une thèse sur les langages sportif. Sylvie avoue qu’elle souhaitait divorcer mais compte tenu de la réaction de MAX elle lui offre une 2eme chance, Roger va faire du théâtre amateur avec Françoise. Un gendarme intervient et arrêtera le livreur de pizza auteur du braquage
On s’aperçoit alors que ce livreur est en fait une fille.

Le Grand Rapt

Anna et Pierre sont frère et sœur, ils vivent tous les deux en colocation dans l’appartement inoccupé de leur grand-mère, décédée l’année d’avant. Catherine, leur mère, les autorise à ne pas payer de loyer, à condition, qu’en échange, ils rénovent l’appart pour pouvoir le vendre. Alors qu’Anna est en train de charger des cagettes de légumes dans son camion au salon de l’automobile, elle surprend Marc Castillo, le ministre de l’économie en train de fumer un joint. Celui-ci voulant l’aider à charger un cageot se blesse avec une agrafe et tombe dans les pommes en se cognant violemment la tête sur la boule d’attelage, perdant ainsi connaissance. Anna panique et le charge dans son camion pour le ramener à la coloc. Après avoir mis en scène un ridicule stratagème, ils vont devoir s’expliquer auprès du ministre qui au même moment s’aperçoit que sa disparition est reçue avec beaucoup d’émotion et fait mécaniquement oublier ses casseroles judiciaires. Il va donc leur proposer un deal en leur offrant une occasion de se racheter. Ils vont faire croire à un enlèvement politique. C’est en ces circonstances qu’une étrange cohabitation va se créer…

La patinoire à poux

Des quiproquos et des ambiguïtés comme s’il en pleuvait !
Il faut dire que si les Franco-Canadiens ont le même vocabulaire que les Français de France, les mots ne veulent pas toujours dire la même chose et ça conduit à des situations ubuesques.
Si vous allez au Canada et que vous parlez de vos enfants, faites attention à ce que vous dites car c’est un truc à se prendre une gifle. Côté Français, les policiers sont des « poulets ». Au Canada, ils deviennent des « cochons ». Les chauves, ont des mouchodromes et eux ont des patinoires à poux. Etc.
Le seul petit souci, c’est Jeanne qui est somnambule. C’est quelquefois gênant. Voire désagréable…Quand ce n’est pas plus…
Elles ont prévu, comme chaque premier jeudi du mois, de se retrouver chez Claire, pour préparer leur fête de la « sainte Goulwena ». Goulwena, comme chacun le sait (enfin presque) est, prétendument, la sainte patronne de ceux qui ont des amis outre Atlantique en France et vice versa. Et même si ce n’est pas très vrai, elles ont décidé que ça le serait quand même.
Par contre, c’est la première fois qu’elles se retrouvent dans ce tout nouvel appartement qu’occupe Claire, puisqu’elle vient juste d’y emménager. Appartement qui, il est important de le préciser était, récemment encore, celui de Jeanne. Jeanne étant partie loger dans celui qui se trouve juste en face et sur le même pallier.
Jeanne semble avoir des pertes de mémoire. Et, de fait, lors de ses séances de somnambulisme, il n’est pas rare du tout qu’elle débarque à l’improviste et fasse n’importe quoi chez Claire, dans son ancien appartement !
Nous avons Juliette, venue de France et de sa région du Perche, en Normandie, qui vient juste de rejoindre le groupe. Juliette ne comprend pas toujours bien toutes ces expressions canadiennes… d’où des confusions parfois hilarantes !

Elvis

Deux hommes, une femme, cachés dans un hangar, à l’abri des autres.
Il est difficile de dire avec honnêteté pourquoi l’on écrit ceci plutôt que cela. peut-être est-ce le souvenir d’un homme à demi couché sur un carton, la prise de conscience qu’il suffirait de peu de choses pour glisser sur cette pente terrible vers l’autre côté du monde.
Ensuite faire vivre ces êtres, leur trouver une voix, un corps, tenter de les rendre concrets, humains, drôles et de mauvaise foi, avec un socle de colère plus ou moins enfoui, un tremplin plus ou moins haut et puissant pour fuir cette réalité.
Avant, ils ont eu une vie sociale, une enfance, des parents, des collègues de travail, des amis, des amours, un chien, un toit. Un toi. un moi.

Elvis

Il est difficile de dire avec honnêteté et précision pourquoi l’on écrit cela plutôt que ceci. Peut-être est le souvenir d’un homme à demi couché sur un carton écrasé, la prise de conscience qu’il suffirait de peu de choses pour glisser sur la pente terrible vers l’autre côté du monde. Sans doute est-ce un mélange de tout cela qui a constitué le départ et l’envie d’écrire cette pièce.
Ensuite, s’y atteler, faire vivre ces êtres inconnus, leur trouver un corps, une voix, tenter de les rendre concrets, humains, drôles et de mauvaise foi, avec un socle de colère plus ou moins enfoui, un tremplin plus ou moins haut et puissant pour fuir cette réalité.
Avant, ils ont eu une vie sociale, une enfance, des parents, des collègues de travail, des amis, des amours, un chien, un toit. Un toi. Un moi.

Plic ! Ploc !

Plic ! Ploc ! Plic ! Ploc ! Ce n’est, au départ, qu’une modeste fuite d’eau, à peine audible sur le palier d’un immeuble. Mais peu à peu, dans un crescendo à la Buzzati, la minable histoire de voisinage vire à la catastrophe planétaire !…

Doliprane

Vous êtes les bienvenus dans un monde où tout le monde a mal à la tête. Heureusement, on peut prendre du Doliprane pour se soigner. Mais le médicament a un effet secondaire inattendu…il donne mal à la tête !

Un rigodon de valises

Le contexte :

En 2 ans la COVID 19 a relégué loin dans nos mémoires la période qui la précédait et que l’on qualifiait de «  décidément bien troublée » ! C’était « l’état d’urgence »
Pour ne pas l’oublier tout à fait, voici
«  UN RIGODON DE VALISES » 
Pour bien danser le rigodon, il faut savoir compter jusqu’à trois ! Et 3, c’est précisément le nombre de valises qui, en se mélangeant, forment la trame de cette énigme policière.

Le résumé :

Sa compagne l’ignorait… L’introduction inattendue d’une valise au domicile lui fait découvrir son compagnon sous un tout autre jour : Bob serait agent secret !…
La surprise passée, Jocelyne décide de lui apporter son soutien, en toute discrétion bien sûr ! L’arrivée inattendue d’Agathe sa sœur, en pleine rupture amoureuse, va entrainer une confusion entre la valise d’Agathe et celle préparée pour Bob par Jocelyne.
Une embrouille dans laquelle vont tomber à pieds joints Armand, l’obstiné policier chargé d’élucider l’énigme de la première valise, et Lucette, la gendarme avec laquelle il est obligé de faire équipe ( état d’urgence oblige)
Est-ce si facile d’enquêter pour les membres d’un binôme aussi disparate ?
Est-ce facile d’enquêter quand on est amoureux ?
Le voisin qui propose son aide n’est-il vraiment qu’un vil rapporteur ?
Décidément nous vivons une époque bien troublée !

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