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Entre 30 et 59

La dernière tasse : comédie policière

“La Dernière tasse” est une pièce policière écrite pour six femmes de tous les âges.
Une soeur mal aimée, et également mal considérée par les amies de celles-ci, prend sa revanche. Une voix d’homme, à la fin, crache, jure, invective au téléphone, à peine audible…

Missing Jim

Jim a disparu. Mais qui était-il vraiment ? À travers une mosaïque de témoignages, on découvre un homme insaisissable, fascinant, parfois inquiétant. Ami fidèle, amant passionné, trader rusé, acteur de l’ombre… Chaque voix raconte une facette différente de Jim, comme si personne ne l’avait jamais vraiment connu.

Certains le recherchent avec ferveur, prêts à tout pour le retrouver, quitte à plonger dans des affaires troubles. D’autres le regrettent, hantés par son absence, tandis que certains se demandent s’il n’a pas simplement orchestré sa propre disparition. Entre amour, trahison, secrets et dangers, ce récit choral nous entraîne dans un tourbillon d’émotions et de mystères.

Jim s’est-il envolé pour fuir un passé compromettant ? Était-il un génie du mensonge, un séducteur impénitent, ou simplement un homme en quête de liberté absolue ? Une seule certitude demeure : son absence laisse un vide que personne ne parvient à combler.

L’ombre de Stella. Moi, Nadine Picard

Avec ces deux monologues inédits, Pierre Barillet nous transporte dans son univers peuplé de stars de cinéma des années vingt, de courtisanes et de divas d’après-guerre. L’auteur dresse le portrait intime et tendre de deux vedettes Stella Marco (tout droit sortie de l’imagination de l’auteur) et Nadine Picard, comédienne que Pierre Barillet a bien connue. Deux portraits de femmes flamboyantes, que l’auteur peint en clair-obscur, pour mieux donner à voir leur profondeur.

Des Parisiens et des poules !

Passer un week-end tranquille à la campagne, c’est le rêve de chacun d’entre nous. Les Bourgeois, des Parisiens aisés, vont en payer les frais. Leur destination… la ferme des Parpagnasses ! Des paysans vivant comme au bon vieux temps et en chasse contre des voleurs de poules ! À leur arrivée, la maison est vide. Les Bourgeois vont très vite déchanter ! Pas d’électricité, pas d’eau chaude, et pas de toilette… Si une petite cabine au fond du jardin infestée de moustiques !… Le grand luxe… Ils décident alors de partir à la recherche des Parpagnasses. Quelques instants plus tard, des coups de fusil se font entendre de la ferme. CATASTROPHE!… Le Fernand a-t-il pris ses invités pour des voleurs de poules ? … La panique s’installe alors très vite dans le village… Alors que le public rit aux larmes.

Bonnes vacances

Le départ en vacances – Les préparatifs dans la fébrilité tôt le matin, Jeanne et Maurice Robin sont sur les nerfs. Ils luttent pour des broutilles en faisant les valises. Luc, leur fils n’arrangera pas les choses : lui se plaint d’être encore dans son premier sommeil… On s’agite chez les Robin, on fait du bruit. Tout cela attire madame Cugnac, la concierge de l’immeuble, une brave femme mais pas trop bavarde. Surtout ce matin-là ! Ensuite les voisins du dessus s’en mêleront, un couple ami mais quelque peu envahissent et d’un sans-gêne effroyable… Tout cela retarde le départ, et énerve particulièrement Maurice. À la fin de cette comédie, coup de massue : Les “envahisseurs” décident d’aller rejoindre les Robin en vacances. Catastrophe ! “BONNES VACANCES”, qu’ils disaient…

Un whisky pour quatre

Tout le monde a disparu, sauf eux quatre ! Non, ce ne sont pas les quatre fantastiques, quoi que…
Un coupe auto-proclamé noble (l’archiduc Edmond, escroc à la petite semaine, imbu de sa personne, désormais plus attaché à sa bouteille de whisky qu’à son épouse, l’archiduchesse Esther, tout à la fois volage et dépensière) s’affrontent dans le salon. Ils n’ont que la noblesse de leur titre, tous les coups bas sont permis et ceux en dessous de la ceinture de préférence.
Au beau milieu de tous ça, on retrouve Valentine, la bonne, à la culture générale très “télévisuelle” et Maxence Faucher, le dentiste et amant d’Esther, play-boy sonnant creux que les citations qu’il distille, ridicule dans un pyjama d’Edmond trop grand pour lui.
Chacun profite de cette situation extraordinaire pour régler ses comptes.
Des répliques drôles, courtes et acérées, des jeux de mots en cascade donnent un rythme haletant à cette pièce burlesque.
Dans ce jeu d’ombres et d’alliances fortuites, la question reste posée : est-ce que tout le monde a réellement disparu …?

La forêt d’Hapschville

Mais que se cache-t-il dans cette forêt au nom étrange ? Quel est le trésor du coffre qui se cache sous le grand « W » ? Qui sont ces drôles de lutins aux plaisanteries malicieuses ? Un groupe d’enfants aventuriers décide de résoudre ces mystères en partant pour cette chasse au trésor où de nombreux événements fantastiques vont se dérouler. Une comédie dynamique où les enfants prendront plaisir à se glisser dans la peau de ces jeunes aventuriers au grand cœur, embarqués dans une histoire aux rebondissements étonnants et inattendus.

Petits potins sur le banc

Comme tous les après-midi, Georgette et ses amies se retrouvent sur le banc de l’unique jardin public du village. Ces « adorables » petites vieilles à la langue bien pendue pratiquent leur sport quotidien favori : les ragots. Elles parlent avec humour de maladie, de mort mais aussi de sexe. Non sans oublier d’égratigner les copines ni de critiquer tout ce qui est plus jeune qu’elles. Les réflexions des vieilles dames sont drôles. C’est plein d’humour et de bons mots. Un bon moment passé en leur compagnie.

Le nouveau Scapin

Le prof de théâtre du groupe d’ados quitte le groupe quelques semaines avant la fin de la saison. Les jeunes comédiens sont atterrés. Mais personne ne veut baisser les bras : Pascal est parti, qu’à cela ne tienne ! Le spectacle se montera sans lui ! Après tout, il y a des années que le groupe participe à cet atelier et chacun en sait assez pour se débrouiller ! Enfin, en théorie … En pratique, les choses se corsent, notamment lorsque le groupe décide de monter “Les Fourberies de Scapin”. La langue de Molière est loin de celle des jeunes de 2005. Pour ne pas abandonner, les jeunes comédiens vont donc adapter la pièce à leur époque. Pour un résultat surprenant.

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