Séniors… Prends pitié !
LE SYNOPSIS ci-dessous tient compte de 12 personnages.
Il y en donc moins dans les autres versions à 9,10 ou 11.
La petite résidence privée pour séniors « Les Joyeux Coucous » accueille des pensionnaires âgés, certains toujours très lucides et efficaces dans leurs anciens domaines professionnels et d’autres un peu – beaucoup – fêlés.
Le groupe dont fait partie la résidence est en difficultés.
Faute d’un repreneur avant fin décembre, la fermeture sera inévitable.
Espoir soudain ce jour de novembre ! La secrétaire de direction, ALICE, annonce que des Qataris sont sur le coup pour racheter le groupe ! Libre cours aux fantasmes….
Mais la résidence, petite et peu rentable, risque fort de ne pas intéresser les émirs !
Elle risque donc plutôt de fermer purement et simplement.
Qataris ou fermeture ? Inacceptable ! Ni l’un ni l’autre, pour SYLVAIN, le comptable, et pour ADAM, maire du village (ancien flic et amant de Marie, la directrice) !
Avec l’aide de résidentes (YVONNE, IRMA, DENISE) de l’animatrice (CAMILLE) et de la femme de ménage (GERMAINE), ils vont tout faire pour sauver leur résidence confortable et bien aimée…
Ils sont sans complexes, différents mais déterminés, efficaces, complémentaires…
Problème, ils n’ont pas le sous… Enfin si… Euh, non… Quoique peut-être… Si ! Enfin, si on y regarde de près, à la loupe, pas vraiment. A moins que l’on s’arrange pour… Pour euh… Et là je vous dis pas le magot. Mais bon… C’est pas simple. Enfin… Vous voyez… Non ! Vous ne voyez pas. Normal ! C’est délicat, très délicat… Faut voir avec LUCIEN !
LUCIEN ? C’est leur ami résident. C’est lui qui détient la clé : il a conservé de son passé trouble 4 valises de faux billets (indétectables) qu’il ne peut écouler que prudemment et donc lentement.
Au train actuel où il puise dans ses valises, il lui restera encore près de 40 millions d’€ en fausses devises inutilisées s’il meurt à 100 ans. Quel gâchis !
Alors on va vous expliquer, en 1h30 environ, comment l’arnaque la plus sympathique du siècle est en train de se mettre en marche. J’ai écrit « en train » parce quand le rideau va s’ouvrir nos compères ont déjà commencé à bidouiller depuis plusieurs semaines…
Ils ont déjà puisé, en douce, dans le magot de Lucien. D’abord pour tester les faux billets, puis dans la foulée, ils ont activé sur les réseaux sociaux un système d’échange, via les Caraïbes, pour blanchir le pognon de Lucien : pour tout virement reçus sur leur compte aux îles Caïman, ils envoient le double par la poste en faux billets.
Et ça fonctionne ! Déjà 4 millions de faux billets utilisés (et donc 2 millions blanchis).
Reste à gérer le flux d’enveloppes par la poste sans attirer l’attention !
Le risque est grand, même si localement l’adjudant-chef Gerber ferme les yeux, vu que sa maman est placée à la résidence…
Pour pallier ce risque, nos deux arnaqueurs ont eu l’idée géniale de créer une association loi 1901 baptisée “N’oublie pas mes petits souliers“. Association destinée à répondre bénévolement aux courriers par des enfants envoyés au père-Noël.
Tous les pensionnaires se prennent au jeu de répondre au nom du Père Noël… Noyant ainsi les envois suspects dans la masse des courriers innocents.
Ce sont bien sûr nos deux amis et leurs complices qui seuls s’occupent des enveloppes contenant les faux billets.
Le succès sera, comme vous le devinez au rendez-vous.
Mais au-delà de tout ce que vous pouvez imaginer car ETIENNE, curé du village, très bien vu à Rome (et même bien plus haut), vient glisser son goupillon dans cette affaire.
Au passage il faudra gérer aussi les facéties de CHARLES… Réincarnation (Alzheimer) loufoque du général De Gaulle.
Quand le rideau s’ouvre…
Nous sommes en novembre.
La rumeur de rachat ou de fermeture de la résidence plane déjà depuis des mois.
Grâce à GERMAINE, la femme de ménage, ADAM a découvert la fausse fortune de LUCIEN et a mis SYLVAIN au courant.
Le compte offshore se remplit régulièrement.
L’association des lettres au père-Noël tourne déjà à plein régime.
Reste à informer Marie sur « le plan de sauvetage » et à persuader LUCIEN de mettre en circulation ses faux billets. Pas simple, délicat !
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