Bibliothéâtre > Comédie

Comédie

Les jours meilleurs

Trois amis sexagénaires se retrouvent chez l’un d’entre eux, Bob, à l’occasion des funérailles de sa femme, Marie. Pour ne pas le laisser seul ce premier soir, Marco et Suzie lui ramènent un dîner et quelques bouteilles. Ce sont des amis de longue date et ils vont en épluchant les mots de condoléances revivre quelques souvenirs d’enfance mais aussi faire ressurgir la poussière de dessous le tapis. Que sont devenus les idéaux de leur 20 ans? Comment vivre à cet âge les frustrations et les échecs? Bob va en profiter pour faire part à ses deux amis ses regrets de n’avoir jamais voulu d’enfant et sa crainte face à l’inévitable solitude qui l’attend. Touchés, Suzie et Marco vont alors briser le silence auquel ils avaient tous deux promis de se tenir jusqu’ici. Bob a un fils qu’il aurait eu lors d’une relation extra-conjugale il y a 20 ans.
… Secret qui va faire prendre à la soirée une tournure plus qu’inattendue… Au rythme d’aveux et de révélations enivrées les trois amis vont se retrouver plongés dans les flashback de leur jeunesse des années 60/70. Dans ce chamboulement émotionnel, les vérités ressurgissent et les comptes se règlent.
Bob, étant jeune, aurait rêvé devenir musicien, il va, ce soir-là, dépoussiérer sa guitare pour refaire le voyage à travers quelques classiques des chansonniers de Mai 68. Les jours meilleurs est une dédicace pleine d’admiration et de malice à cette génération dites des “soixante huitards”
Une comédie sociale qui s’amuse et questionne sur les contradictions d’une vie…

C’était pas le but

Sylvie et Max Un couple récemment muté dans une ville de l’est prévoit une soirée foot rencontre PSG OM, avec Roger le frère de Sylvie et Françoise sa femme. Pour l’occasion ils ont acheté un téléviseur grand écran. Un violent orage, causant des embouteillages monstres, Roger et Françoise sont en retard. Une partie de la ville sera inondée isolant le quartier de Sylvie et Max, dans lequel a eu lieu un braquage du supermarché. La télécommande du téléviseur ne fonctionne plus. Un voisin amateur de foot, Marcel, les dépanne et s’invite. Il est supporter de l’OM et les autres du PSG. Le livreur de pizza en retard également, Marcel, le voisin, demande à sa femme, Micheline, de les rejoindre et d’apporter de quoi boire et manger. Le livreur de pizza arrive alors, mais revient apres quelques minutes car on lui a volé son scooter et compte tenu de la météo demande de l’héberger en attendant qu’un copain vienne le rechercher.
Le match est nul et la mi-temps permet de déguster un en-cas convivial proposé par Micheline la voisine. A la reprise le match est annulé en raison des conditions météo. Max déclare qu’il ne suit les matchs que par convivialité avec ses collègues sous ses ordres. Roger pour faire plaisir à son beau frère et le voisin parce qu’il fait une thèse sur les langages sportif. Sylvie avoue qu’elle souhaitait divorcer mais compte tenu de la réaction de MAX elle lui offre une 2eme chance, Roger va faire du théâtre amateur avec Françoise. Un gendarme intervient et arrêtera le livreur de pizza auteur du braquage
On s’aperçoit alors que ce livreur est en fait une fille.

La patinoire à poux

Des quiproquos et des ambiguïtés comme s’il en pleuvait !
Il faut dire que si les Franco-Canadiens ont le même vocabulaire que les Français de France, les mots ne veulent pas toujours dire la même chose et ça conduit à des situations ubuesques.
Si vous allez au Canada et que vous parlez de vos enfants, faites attention à ce que vous dites car c’est un truc à se prendre une gifle. Côté Français, les policiers sont des « poulets ». Au Canada, ils deviennent des « cochons ». Les chauves, ont des mouchodromes et eux ont des patinoires à poux. Etc.
Le seul petit souci, c’est Jeanne qui est somnambule. C’est quelquefois gênant. Voire désagréable…Quand ce n’est pas plus…
Elles ont prévu, comme chaque premier jeudi du mois, de se retrouver chez Claire, pour préparer leur fête de la « sainte Goulwena ». Goulwena, comme chacun le sait (enfin presque) est, prétendument, la sainte patronne de ceux qui ont des amis outre Atlantique en France et vice versa. Et même si ce n’est pas très vrai, elles ont décidé que ça le serait quand même.
Par contre, c’est la première fois qu’elles se retrouvent dans ce tout nouvel appartement qu’occupe Claire, puisqu’elle vient juste d’y emménager. Appartement qui, il est important de le préciser était, récemment encore, celui de Jeanne. Jeanne étant partie loger dans celui qui se trouve juste en face et sur le même pallier.
Jeanne semble avoir des pertes de mémoire. Et, de fait, lors de ses séances de somnambulisme, il n’est pas rare du tout qu’elle débarque à l’improviste et fasse n’importe quoi chez Claire, dans son ancien appartement !
Nous avons Juliette, venue de France et de sa région du Perche, en Normandie, qui vient juste de rejoindre le groupe. Juliette ne comprend pas toujours bien toutes ces expressions canadiennes… d’où des confusions parfois hilarantes !

Amour de soeurs

Un moment de vie de 3 sœurs : 2 retraitées et 1 bien plus jeune qui ne les ménage pas.

Donnez-moi la main…

Peut-on acheter son bonheur ? C’est la question que Michel Prince se pose et qu’il va tenter de réaliser en s’adressant à une agence matrimoniale. Mais le choix n’est pas simple et malgré la diversité des “postulantes” disponibles, Michel aura bien du mal à se décider …

Drôle de commissariat

Le commissaire Bedet dirige son commissariat avec la trouille de sa hiérarchie. Il déteste que quelque chose perturbe son quotidien…
Pas de chance aujourd’hui car des événements abracadabrantesques vont débouler au point de lui faire péter les plombs.
Tout commence avec Monsieur Zonec, brigadier-chef qui vient d’arriver dans le commissariat pour sa nouvelle affectation. Personne ne le sait mais en réalité c’est un usurpateur d’identité et ça ne va donc pas être triste pour gérer les affaires courantes…
D’ailleurs, à propos de courantes, aujourd’hui, c’est de mise pour lui…
Il n’y aura donc ce jour pas une minute de répit pour ce pauvre commissaire Bedet. C’est une catastrophe.

Crise d’otage avec rançon

S’ils avaient su qu’elle serait si enquiquinante et si incontrôlable, ils ne l’auraient pas prise en otage.
Michu, Gertrude, de son prénom, pense, en fait participer à un jeu-cadeau de son mari pour son anniversaire.
Il s’agit en réalité d’un inextricable quiproquo, puisqu’ils se sont tout simplement trompés de personne lorsqu’ils ont fait leur kidnapping.
Il y a Félix, celui qui apparaît être le chef de bande accompagné de Sandy sa toute nouvelle compagne dans la vie et trop heureuse de participer aux côtés de son nouveau mec à quelque chose de bien.
Alfred, quant à lui, il ne semble pas tout à fait fini car il ne fait rien de ce qu’il faut comme il faut. Heureusement ou malheureusement pour lui, sa femme, Elodea, le suit et le guide. Du moins elle fait ce qu’elle peut car de toute évi-dence, le métier de preneuse d’otage ne sera jamais sa spécialité.
Comment tout cela peut-il se terminer ?
Il se pourrait bien que tout cela se termine de la façon la plus étrange qui soit. Mais pour cela il faut attendre la toute dernière minute pour le comprendre.

Changement de propriétaire

Clément, est le nouveau propriétaire de cet hôtel qu’il a entièrement rénové et qui s’appelait autrefois « L’Auberge du Caramel ».
A la demande de sa mère et pour lui faire plaisir, il a décidé d’inviter, juste avant l’ouverture officielle, les anciennes collègues de celle-ci. De plus, le hasard fait que ça tombe le jour de l’anniversaire de cette maman !
Sœur Elodea saura-t-elle résister au charme du nouveau patron ? Rien n’est moins sûr…
Quant aux autres invités, s’ils pensaient bien connaître Nathalie, auparavant mère supérieure d’une congrégation mais aussi mère de Clément, ils vont aller de surprise en surprise jusqu’à la dernière ligne de la pièce.
Quant à Natouille… la nouvelle intendante… Elle est vraiment nouvelle dans le métier et il n’est pas sûr que Clément ait fait une belle affaire en l’embauchant… Elle a beaucoup de progrès à faire pour bien maîtriser son job.

Monsieur Claude

Hubert, industriel du textile rouennais, est aux cent coups. Ce soir arrivent les Belmont d’Argeval, invités à venir passer le week-end. Hubert espère beaucoup de cette visite ! Du père, Paul général de gendarmerie, il escompte un appui pour décrocher le marché des uniformes de la maréchaussée. Du fils, Henri, il espère un mariage avec sa fille, Nicole. Pour que son plan réussisse, Hubert a tout prévu. Sauf que son épouse, Claire, a donné congé à la bonne pour le week-end ! Comment recevoir dignement les Belmont d’Argeval ? Seule solution : une agence de personnel qui promet de dépêcher la personne idéale, prénommé Claude. Mais avant que cette personne n’arrive, débarque Lola, une jeune fille plus que délurée, qu’attirent autant les hommes que l’argent, et avec Hubert a eu une aventure lors d’un voyage d’affaires. Paniqué par cette instruction inopportune, Hubert la fait passer pour Claude ! Mais Claude, le vrai – car il s’agit en réalité d’un homme – se présente, accueilli par Claire, elle réalise que son mari lui a menti. Pour découvrir la vérité, elle entre dans le jeu de son mari, et fait passer Claude pour Michel, un cousin éloigné, psychiatre de passage pour un congrès. C’est dans cet imbroglio qu’arrive le trio Belmont d’Argevel : le père, d’une austérité toute militaire, son épouse, effacée mais qui se révélera femme de tête et leur fils, Henri, qu’attire autant qu’intimide les femmes. Malentendus et quiproquos se succèdent à un rythme endiablé, autour de Michel, qui joue si bien les psychiatres que certaines dames iront jusqu’à s’allonger sur le divan. Quand au dénouement, il s’annonce plein de rebondissements ! Monsieur Claude est une comédie dans laquelle chacun des protagonistes occupe une place privilégiée, un vaudeville où les situations les plus cocasses s’enchevêtrent, pour le plus grand plaisir du public.

Bureau de femmes ou Déjà, midi moins l’quart !

Un lundi matin, dans un bureau d’une Caisse de Retraite, où travaillent 4 femmes…
Les discussions vont bon train. Chacune ayant quelque chose à raconter après le week-end. Il y a là, “Titine”, “Maman”, “Mado” et “Nini”… Les petits froids – les coups de gueule- les moqueries – les fâcheries – les bouderies – les jalousies – les potins – les piques – les maris – les amours – les fringues.. “Le Chéfaillon”, “La Bidouille”, et un final en apothéose !… Mais!! il est “déjà, midi moins l’quart ?!?”… Tout ce qui fait le formidable succès du style satirico-comique, propre à Francis Poulet, se trouve réuni dans cette petite comédie.

Retour en haut
Retour haut de page