C’est la faute à ces putain de talibans
Kharmoudi
Publié le 03/11/25
Dans un quartier de banlieue, la justice a finalement fait fermer la mosquée d’un groupe d’intégristes.
Un jour habitant du quartier s’en réjouit..
Quoi, t’as pas entendu la bonne nouvelle ? Non ?
Tu sais pas que la police elle a enfin mis des scellés sur leur putain de mosquée, là ?
Mais oui oui, puisque je te le dis…
Ah non non, pas le petit local de nos vieux là-bas vers le grand parking…
eux ils dérangent personne, les gens ils savent même pas que ça existe…
Et de toute façon, les vieux ils y font un peu la prière mais surtout ils y passent la journée à se causer de leurs villages là-bas où ça existe même plus…
Non, moi je te parle de LA mosquée des enragés, là, le nid de guêpes de ces putain de Talibans…
C’est les profs et les parents d’élèves du collège qu’arrêtaient pas de se plaindre d’eux…
A cause que leurs enragés ils harcèlent les filles à la sortie du collège…
Ouiii… ils leur disent de porter le voile islamique sinon ils vont vite les inscrire sur la liste de mécréants qui iront brûler dans l’enfer d’Allah…
Putain les malades… on dirait qu’Allah en personne il leur a confié le livret d’inscription pour le paradis et pour l’enfer..
Quoi ?
Oui oui t’as raison, uniquement le livret pour l’enfer…
En tout cas, là, ça va faire du bien… vraiment vraiment…
Et tu sais quoi ? Déjà dans le quartier t’entends partout les gens ils disent : ah enfin on va avoir une vie normale…
Euh… sauf l’autre, là, le vieux Jacques qui aime tout le monde tout le monde et surtout les réfugiés…
Lui, c’est le seul, le seul qui a protesté…
Il a encore trouvé l’occasion de rabâcher à la télé que les réfugiés ils ont le droit d’être réfugiés, et que les musulmans ils ont aussi le droit d’être musulmans, et tout son baratin qu’il rabâche partout et à toutes les sauces, là…
Tu vas voir, à tous les coups il va organiser sa petite manif avec ses vieux potes de gauche…
Quoi ?
Oui oui t’as raison : soi-disant de gauche… parce que… euh… des gens comme ça, nous on serait mieux sans eux...
C’est le père à Jean...