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Tout public

La peur ne nous quittera plus

La pièce raconte trois personnages contraints, pour échapper à la guerre, de vivre
ensemble dans un abri. Sous le poids de la promiscuité et de la peur, un combat
étouffant s’engage alors, fait d’alliances et de trahisons, de controverses, de
moqueries. Et d’où s’élève parfois une voix, pleine d’intériorité, livrant ses pensées
sur l’Homme et le monde.

Oeuvres Theatrales

Quiproquos, portes qui claquent, séducteurs de boudoirs, escrocs imaginatifs, rentiers gogos, petites blanchisseuses et messieurs à chapeaux haut-de-forme, esprit fin 19ème… Courteline, Feydeau, Labiche ?
Non, Elie de Bassan (1871-1937), connu et largement joué au début du 20ème siècle, salué par la critique, auteur de vingt pièces en vingt ans, tombé dans l’oubli et désormais dans le domaine public.

La Dame De Carreau

QUI EST VRAIMENT DOMINIQUE ? LE GRAND VOYANT DE PARIS… OU BIEN UN HABILE FINANCIER… OU LE CONSEILLER ASTRAL DU GOUVERNEMENT… ET POURQUOI PAS LES TROIS ! VIREVOLTANT, CHARMEUR, LEGEREMENT MANIPULATEUR, PEUT-ETRE MEME UN PEU ESCROC, DOMINIQUE ENCHAINE LES PREDICTIONS, LES CONSEILS BOURSIERS ET LES CONSEILS STRATEGIQUES AUPRES DE SES CLIENTES ET CLIENTS TRES CREDULES QUI NE DEMANDENT QU’A LE CROIRE ! UNE PIECE SANS TEMPS MORTS DANS LA FOLLE AMBIANCE DE L’ENTRE DEUX GUERRES

Le JT des infaux du soir

Deux heures avant le début du journal TV, vous êtes bien sur TV Une Première (T.U.P.), la plus grande chaîne d’informations nationale.
C’est le dernier jour de travail pour le présentateur vedette du Journal qui se prépare à partir en congés d’été le lendemain.
Hélas, son remplaçant, malade, doit déclarer forfait puisqu’il est envahi de boutons rouges.
Il faut annoncer à Edmond qu’il va devoir renoncer à ses vacances puisqu’il est bien trop tard pour trouver quelqu’un d’autre. Compte tenu du caractère très prononcé d’Edmond, cela ne va pas être simple. Il se prend vrai-ment pour le nombril du monde.
De plus, les travaux qui préparent un tout nouveau plateau pour la rentrée ont démarré et c’est le bazar sur le plateau.
Les essais techniques démarrent avec Lucas, chef éclairagiste, Ludo le cadreur caméra qui ne cesse de se prendre les pieds dans les câblages, Mylène, la cheffe qui dirige son plateau d’une main de fer. Irène, chargée de l’entretien permanent du lieu. Irma, la maquilleuse qui a confondu ses médicaments avec des bonbons de même couleur. Elisa, l’ingénieure son et Sonia, la rédactrice en cheffe de l’édition du journal du soir.
Une nouvelle journaliste doit lancer sa nouvelle rubrique sur les provinciaux vus par les gens de la ville. Elle a été pistonnée par le grand patron et ce n’est pas vraiment une bonne idée.
Des personnages imprévus vont défiler sur ce plateau pour tenter de remplacer Edmond en catastrophe, tels Paulo, Olive, Josefa.
Il va y avoir du stress et les surprises vont être nombreuses. Alors, qui remplacera ou pas Edmond ?

Je n’irai pas à Sing Sing

New-York, 1927

L’Amérique, en pleine prohibition, a vu fermer le légendaire Cotton Club. Alors que son propriétaire est emprisonné à Sing Sing pour trafic et vente d’alcool; sa fille Charlie Madden organise encore des soirées clandestines dans le sous-sol du bar. Dans une ambiance fumeuse et jazzy, de singuliers noctambules s’y fréquentent. C’est le cas du Maire Jimmy Walker, de la célèbre actrice Mae West, et de l’agent de police corrompu Glenn Dunnegan. Par une chaude soirée d’été, tous attendent avec impatience l’arrivée du livreur-contrebandier Ted Pescy, mais les événements vont prendre une tournure à laquelle personne ne s’attend…

Sous les pavés

C’est l’histoire d’un homme et d’une femme. Lui vit au sous-sol, il aime y passer ses journées.
Elle va de temps en temps lui rendre visite… pour une raison particulière. Elle et lui ont une liaison
spéciale. Ils s’aiment, se détestent…et surtout ont un grand point commun : ils aiment tuer.

Les jours meilleurs

Trois amis sexagénaires se retrouvent chez l’un d’entre eux, Bob, à l’occasion des funérailles de sa femme, Marie. Pour ne pas le laisser seul ce premier soir, Marco et Suzie lui ramènent un dîner et quelques bouteilles. Ce sont des amis de longue date et ils vont en épluchant les mots de condoléances revivre quelques souvenirs d’enfance mais aussi faire ressurgir la poussière de dessous le tapis. Que sont devenus les idéaux de leur 20 ans? Comment vivre à cet âge les frustrations et les échecs? Bob va en profiter pour faire part à ses deux amis ses regrets de n’avoir jamais voulu d’enfant et sa crainte face à l’inévitable solitude qui l’attend. Touchés, Suzie et Marco vont alors briser le silence auquel ils avaient tous deux promis de se tenir jusqu’ici. Bob a un fils qu’il aurait eu lors d’une relation extra-conjugale il y a 20 ans.
… Secret qui va faire prendre à la soirée une tournure plus qu’inattendue… Au rythme d’aveux et de révélations enivrées les trois amis vont se retrouver plongés dans les flashback de leur jeunesse des années 60/70. Dans ce chamboulement émotionnel, les vérités ressurgissent et les comptes se règlent.
Bob, étant jeune, aurait rêvé devenir musicien, il va, ce soir-là, dépoussiérer sa guitare pour refaire le voyage à travers quelques classiques des chansonniers de Mai 68. Les jours meilleurs est une dédicace pleine d’admiration et de malice à cette génération dites des “soixante huitards”
Une comédie sociale qui s’amuse et questionne sur les contradictions d’une vie…

C’était pas le but

Sylvie et Max Un couple récemment muté dans une ville de l’est prévoit une soirée foot rencontre PSG OM, avec Roger le frère de Sylvie et Françoise sa femme. Pour l’occasion ils ont acheté un téléviseur grand écran. Un violent orage, causant des embouteillages monstres, Roger et Françoise sont en retard. Une partie de la ville sera inondée isolant le quartier de Sylvie et Max, dans lequel a eu lieu un braquage du supermarché. La télécommande du téléviseur ne fonctionne plus. Un voisin amateur de foot, Marcel, les dépanne et s’invite. Il est supporter de l’OM et les autres du PSG. Le livreur de pizza en retard également, Marcel, le voisin, demande à sa femme, Micheline, de les rejoindre et d’apporter de quoi boire et manger. Le livreur de pizza arrive alors, mais revient apres quelques minutes car on lui a volé son scooter et compte tenu de la météo demande de l’héberger en attendant qu’un copain vienne le rechercher.
Le match est nul et la mi-temps permet de déguster un en-cas convivial proposé par Micheline la voisine. A la reprise le match est annulé en raison des conditions météo. Max déclare qu’il ne suit les matchs que par convivialité avec ses collègues sous ses ordres. Roger pour faire plaisir à son beau frère et le voisin parce qu’il fait une thèse sur les langages sportif. Sylvie avoue qu’elle souhaitait divorcer mais compte tenu de la réaction de MAX elle lui offre une 2eme chance, Roger va faire du théâtre amateur avec Françoise. Un gendarme intervient et arrêtera le livreur de pizza auteur du braquage
On s’aperçoit alors que ce livreur est en fait une fille.

Le Grand Rapt

Anna et Pierre sont frère et sœur, ils vivent tous les deux en colocation dans l’appartement inoccupé de leur grand-mère, décédée l’année d’avant. Catherine, leur mère, les autorise à ne pas payer de loyer, à condition, qu’en échange, ils rénovent l’appart pour pouvoir le vendre. Alors qu’Anna est en train de charger des cagettes de légumes dans son camion au salon de l’automobile, elle surprend Marc Castillo, le ministre de l’économie en train de fumer un joint. Celui-ci voulant l’aider à charger un cageot se blesse avec une agrafe et tombe dans les pommes en se cognant violemment la tête sur la boule d’attelage, perdant ainsi connaissance. Anna panique et le charge dans son camion pour le ramener à la coloc. Après avoir mis en scène un ridicule stratagème, ils vont devoir s’expliquer auprès du ministre qui au même moment s’aperçoit que sa disparition est reçue avec beaucoup d’émotion et fait mécaniquement oublier ses casseroles judiciaires. Il va donc leur proposer un deal en leur offrant une occasion de se racheter. Ils vont faire croire à un enlèvement politique. C’est en ces circonstances qu’une étrange cohabitation va se créer…

La patinoire à poux

Des quiproquos et des ambiguïtés comme s’il en pleuvait !
Il faut dire que si les Franco-Canadiens ont le même vocabulaire que les Français de France, les mots ne veulent pas toujours dire la même chose et ça conduit à des situations ubuesques.
Si vous allez au Canada et que vous parlez de vos enfants, faites attention à ce que vous dites car c’est un truc à se prendre une gifle. Côté Français, les policiers sont des « poulets ». Au Canada, ils deviennent des « cochons ». Les chauves, ont des mouchodromes et eux ont des patinoires à poux. Etc.
Le seul petit souci, c’est Jeanne qui est somnambule. C’est quelquefois gênant. Voire désagréable…Quand ce n’est pas plus…
Elles ont prévu, comme chaque premier jeudi du mois, de se retrouver chez Claire, pour préparer leur fête de la « sainte Goulwena ». Goulwena, comme chacun le sait (enfin presque) est, prétendument, la sainte patronne de ceux qui ont des amis outre Atlantique en France et vice versa. Et même si ce n’est pas très vrai, elles ont décidé que ça le serait quand même.
Par contre, c’est la première fois qu’elles se retrouvent dans ce tout nouvel appartement qu’occupe Claire, puisqu’elle vient juste d’y emménager. Appartement qui, il est important de le préciser était, récemment encore, celui de Jeanne. Jeanne étant partie loger dans celui qui se trouve juste en face et sur le même pallier.
Jeanne semble avoir des pertes de mémoire. Et, de fait, lors de ses séances de somnambulisme, il n’est pas rare du tout qu’elle débarque à l’improviste et fasse n’importe quoi chez Claire, dans son ancien appartement !
Nous avons Juliette, venue de France et de sa région du Perche, en Normandie, qui vient juste de rejoindre le groupe. Juliette ne comprend pas toujours bien toutes ces expressions canadiennes… d’où des confusions parfois hilarantes !

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