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Entre 1h et 1h29

Vengeances tardives

Fredérique, dite Fred, a décidé d’arroser son réveillon et son récent succès littéraire mais ses copains, qui ont vu dans ses nouvelles des portraits d’eux peu flatteurs, boycottent la fête. Josy, porte-parole du groupe, est bientôt rejointe par deux des copains censés ne pas être là, mais aussi par la voisine, qui semble également avoir quelques bonnes raisons d’en vouloir à Fred. Seule contre tous, Fred va elle aussi finir par trouver à son excellent vin un goût étrange de… Vengeances tardives.

L’opposé du contraire

Monsieur le professeur Caillot est philosophe. Reclus chez lui depuis des années, il refuse tout contact avec l’extérieur afin de préserver l’intégrité de sa pensée. Jusqu’au jour où Marco, peintre en bâtiment, débarque pour repeindre les volets. Un tête-à-tête en huis clos dans lequel vont s’affronter les arguments affutés du penseur acariâtre et les remarques spontanées du peintre plein de bon sens qui, peu à peu, va ébranler les certitudes du penseur.

J’habite chez ma cousine

Sous la pression de sa mère, Ghislaine est contrainte d’héberger pour quelques jours seulement sa cousine Janine qui a fui son Sud-Ouest natal et qui a des rêves de citadine. Mais le provisoire peut parfois durer longtemps et le temps lui-même peut facilement se gâter lorsqu’il pleut sans cesse des quiproquos, des maladresses et des malentendus. Janine est convaincue qu’il suffit de vouloir les choses pour qu’elles se réalisent, alors que Ghislaine est une pessimiste qui ne se fait aucune illusion. Les deux cousines ont beau être toutes deux attachantes, il leur faudra tout de même une bonne dose d’humour et d’autodérision pour parvenir à se comprendre et à mesurer tout ce qui les sépare : une provinciale bavarde, poissarde et bordélique, qui squatte chez une Parisienne écolo, maniaque et dépressive… ” On choisit ses amis, mais rarement sa famille ! “

A la bonne vôtre !

Louis, vigneron, ouvre sa cave au public. Claude, responsable de l’organisme Hygiène et Sécurité, vient la fermer. Au beau milieu de ce duel, les touristes devront choisir leur camp et passer leur visite entre portes qui claquent, rebondissements, quiproquos, intrigue amoureuse et complots épiques. À la vigne comme à la scène, c’est À la bonne vôtre !

Danton – Robespierre, les racines de la liberté

22 mars 1794 : ultime face à face, duel à mort entre Danton et Robespierre, ces deux figures de proue de la révolution française qui sont se sont aimées, détestées, respectées et qui espéraient un nouveau monde, plus juste et équitable.
Leur affrontement va décider de l’avenir de la France mais aussi de leur avenir personnel. À l’ombre de la guillotine s’ouvre une lutte fratricide autour des valeurs de liberté et d’égalité, éclairées par un espoir fou de fraternité.
Un texte d’une actualité troublante, où tout est historiquement vrai… et le reste est vraisemblable.
Un lien entre présent et passé, vieux et nouveau monde. Et pour les incarner, deux corps, deux identités, le choc de deux intelligences concevant les racines de notre liberté.

Donne-moi ton coeur !

L’action se passe dans une clinique dans les greffes d’organes d’un genre très particulier et tout à fait inhabituel. Suite à une erreur médicale, deux patients sont atteints de troubles du comportement. Le chirurgien maîtrise parfaitement le technique des transplantations d’organes mais pas les effets secondaires.

Brigade financière

Un très grand patron qui se rend à une convocation de “routine”. Une commissaire de la brigade financière qui enquête depuis des mois sur ses activités. Une confrontation en huis clos de deux visions du monde qui s’opposent. Entre cet homme de pouvoir et cette femme de droit s’engage une lutte, un duel d’intelligence entre privilège et justice. Avec pour enjeu la liberté ou la détention d’un homme, plus enclin à diriger qu’à obéir…

La bourrique et le canasson

Le Marius et la Jeanne ne s’entendent plus, mais alors, plus du tout ! Cette fois-ci, le sujet de discorde est la soupe de la Jeanne qui, au goût du Marius, serait trop fadasse ! Et c’est sans compter l’impertinence de leur fille unique, la Joséphine, et les intrusions répétées du Félicien, qui n’arrangent rien ! Comme à son habitude, Marius quitte alors la table, sans manger, pour finir sa soirée au café du village ! En l’absence de celui-ci, la Marie, une voisine proche, ne tarde pas à venir aux nouvelles. Mais ce soir, la Jeanne a pris une importante décision et confie à son amie qu’elle en a plus qu’assez et qu’elle pourrait bien commettre l’irréparable : pousser Marius dans l’escalier qui descend à la cave où il passe le reste de ses nuits ! Mais ce soir, il en sera autrement. Car Marius reviendra bien du village, oui. Mais voilà, quelqu’un est déjà tombé dans l’escalier ! Mais qui ? Vous l’aurez compris, l’auteur nous a une fois de plus concocté, ou plutôt, devrais-je dire, mitonné, une farce paysanne aux petits oignons : un vrai régal ! Et ce jusqu’à l’inattendu coup de théâtre final, ô combien mémorable !

Le bonheur au travail

Des lundis heureux, est-ce possible ? Pour le directeur de “Publipresse” ce n’est pas la question. Ni pour Martine (commerciale) qui attend sa promotion , ni pour Hubert (comptable) qui calcule ses RTT pour faire du théâtre, et encore moins pour Lucie (standardiste) qui est dépressive. D’autant que le directeur met la pression, car le Hollandais, patron d’un grand groupe, envisage de placer des capitaux dans l’entreprise. Mais le futur investisseur impose une condition : “Que chaque salarié soit heureux au bureau !” “Heureux au boulot ? Eh ben… On n’est pas parti à 18 heures !” Travailler pour être heureux tout en travaillant à être heureux… Un vrai embrouillamini et surtout… encore du boulot !Vont-ils y arriver ? Premier réflexe : changer l’autre ! Après une formation « bonheur et rendement », le directeur utilise l’élixir d’un marabout d’entreprise pour désenvoûter Hubert de l’esprit fonctionnaire. A la complexité des relations de travail, s’emmêlent les désirs les plus secrets… Que ce soit Martine qui cherche l’amour auprès du plus gros client, ou Hubert qui se croit autorisé à jouer du théâtre avec le patron … Tous cherchent le bonheur en réalisant leurs désirs. Mais le directeur, lui, envisage son bonheur en virant toute l’équipe avec l’aide du marabout… Les événements comiques se succèdent, et il perd le contrôle. Alors que le vent de folie souffle au plus fort, il fait une syncope. Face à cet événement, tous se posent la question du vrai bonheur et s’orientent vers des valeurs humaines…. Une comédie très actuelle avec une mécanique de vaudeville. « Feydeau au bureau, que du bonheur ! »

Week-end de folie

Un couple d’amoureux décide de passer un week-end seul dans un gîte rural. Mais ces deux jours vont être remplis de rebondissements et de quiproquos en tout genre, rendant le week-end animé ! Le jour même, ils sont reçus par le balai de la bonne. Dans la nuit, un duo de faux cambrioleurs entre dans la maison et tombe sur celle-ci qui reconnaît l’un d’eux. Le dernier jour, deux blessés viennent accroître la tribu du gîte et demande de l’aide pour chercher le coupable de leur accident. Il faudra attendre la dernière minute pour le connaître, mais la surprise sera de taille ! La bonne, fil de conducteur de la pièce, aime faire des jeux de mots hilarants : ce qui, au lieu d’apaiser la situation, attise les flammes, provoquant ainsi des moments particulièrement drôles et cocasses. Cette pièce est décidément pleine de scène rocambolesques et ambiguës à souhaits pour le plus grand bonheur de tous.

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