Des gens ordinaires
Monologue d’une jeune femme qui présente son univers, et ceux qu’elle côtoit au quotidien. On découvre peu à peu le monde de l’hôpital psychiatrique, à travers une voix un peu naïve, écorchée, mais joyeuse.
Monologue d’une jeune femme qui présente son univers, et ceux qu’elle côtoit au quotidien. On découvre peu à peu le monde de l’hôpital psychiatrique, à travers une voix un peu naïve, écorchée, mais joyeuse.
Dans une famille moderne et occupée, Clara, une fille de 10 ans, décide soudainement de ne plus parler. Ses parents, Sophie, une cadre dynamique toujours sur son téléphone, et Marc, un architecte indépendant, sont déconcertés par ce silence inattendu. Alors que Sophie s’inquiète et tente désespérément de comprendre ce qui se passe, Marc essaie de minimiser la situation.
Le silence de Clara devient une “source” de réflexion pour ses parents, les forçant à reconsidérer leur mode de communication et leur présence auprès de leur fille. Ils réalisent que leur vie trépidante et leur dépendance à la technologie ont créé un fossé dans leur relation avec Clara.
Finalement, après un mois de ce nouveau mode de vie, Clara retrouve la parole, exprimant qu’elle attendait que ses parents trouvent les “mots justes” et apprennent à l’écouter vraiment. La famille se retrouve unie, ayant redécouvert l’importance de la communication et de l’écoute active.
“Le Silence de Clara” est une comédie qui explore les dynamiques familiales modernes et l’importance de la communication authentique, où le silence devient une “source” de transformation et de révélation.
Ariel, jeune étudiante, a rendez-vous avec le directeur de l’Académie des Beaux-Arts de Vienne, qui doit statuer sur sa candidature. Plus d’un siècle auparavant, le directeur de l’époque, Christian Griepenkerl, rejetait celle d’un certain Adolf Hitler. Une vocation contrariée qui devait indirectement entraîner les conséquences désastreuses que l’on sait. Une décision anodine, en modifiant un destin individuel, peut-elle changer le cours de l’Histoire ? On ne le saura jamais… à moins de pouvoir revenir en arrière pour expérimenter les suites d’un autre choix. Cette tragi-comédie pose avec humour les questions fondamentales qui hantent l’Humanité depuis toujours…
Comment répondre à la question « qui suis-je ? » Camille convoque le souvenir de sa grand-mère dans l’espoir de répondre aux questions de sa propre existence. En interrogeant la vie de ses aïeux, elle prend en charge son devoir de mémoire. Pouvoir se laisser guider par ceux qui sont venus avant, se souvenir d’où l’on vient, c’est faire un pas vers les réponses que l’on cherche. À partir d’un témoignage de sa grand-mère et d’un travail d’archives réalisé en Pologne et en France, Maud Landau a construit son texte comme une déclaration d’amour. Avec l’humour comme partenaire, elle avance à la rencontre des fantômes de son passé. De cette expérience intime, elle tire un récit universel, miroir de tant d’autres histoires personnelles.
On se retrouve dans une ville-bourgade bleue chez LucreciA Malenvie, la mère de L’Aînette et La Cadée. Pour ses deux filles, LucreciA a des ambitions, des projets qu’elle veut voir réalisés coûte que coûte! Elle ne lésinera sur aucuns moyens pour donner à ses filles chéries l’avenir radieux qu’elle leur réserve. Et d’abord d’épouser un homme qu’elle acceptera comme son second mari, à condition qu’il les accueille, ses filles et elle, dans sa maison presque cossue. Ce mariage annonce une aire nouvelle pour L’Aînette et La Cadée qui vont vivre avec Cassandre, leur nouvelle sœur.
Dans le cadre de cette famille qui se recompose, les velléités, les promesses et les aspirations des unes et des autres vont s’entremêler. On voudrait espérer pour seulement le meilleur…
Quatre personnes qui ne se connaissent pas se retrouvent malgré elles placées en quarantaine dans ce qui s’avère être un théâtre désaffecté. Derrière une vitre imaginaire, des gens (les spectateurs) les observent. Les présumés malades s’interrogent. Par quel virus auraient-ils bien pu être contaminés ? Que risquent-ils exactement ? Quand et comment tout cela va-t-il se terminer ? On comprend peu à peu que ce huis-clos se situe dans un futur proche où Big Brother règne en maître, et que la raison de cette quarantaine n’est peut-être pas strictement médicale.
Éros et Thanatos
C’est l’histoire d’une guerre débutée il y a très longtemps, une guerre qui n’en finit pas de commencer, une guerre mythique et terriblement actuelle (à cause des coïncidences historiques et des effets de réels, à cause des bouleversements de narrations et des histoires qui ne sont que des passés que l’on ne cesse de rabâcher), une guerre qui se tient devant les imposants remparts d’une cité étrangère qui défend son littoral – des héros et des héroïnes se battent dans l’attente, dans l’impatience, dans l’espérance.
Des héros et des héroïnes devant les remparts imposants d’une cité imprenable, dans la position de celles et ceux qui mènent bataille sur bataille dans cette guerre qui n’en finit pas de commencer et qui, avec le temps, qui passe, et les histoires, qui se racontent, restent dans la zone, à défendre ce qui doit être défendu et à attaquer ce qui doit être vaincu.
Une jeune femme cherche une rencontre, espère une rencontre digne des histoires épiques, digne des grandes batailles dans lesquelles parfois les liens les plus forts sont ceux que l’on partage avec son meilleur ennemi. Elle est prête à tous les sacrifices pour faire exister un face à face superbe, un rendez-vous unique. Au long de son monologue fiévreux, la jeune femme erre dans les rues qu’elle espère dangereuses à la recherche d’un prochain ou d’une prochaine pour assouvir ses désirs de rencontre et de promesses. Plongée dans une ville trop éclairée, convoquant au fil de sa déroute les figures amies de Don Quichotte, du Caravage, de Max Guevara ou d’Asja Lacis, elle cherche dans le clair-obscur les premiers signes d’une nuit enfin pleine.
Mila et Manon sont en couple, Mila attend Manon qui sort de prison. Mila adore la musique classique, elle est ambitieuse, elle a construit une stabilité grâce à son bistrot. Manon à toujours tendance à dérailler dans la vie.