Textes

Miracle au couvent de Sainte Marie-Jeanne

À la boutique du couvent dont les ventes financent les bonnes œuvres des Sœurs, le célèbre Élixir de Sainte Marie-Jeanne aux nombreuses vertus ne fait plus recette. Jusqu’au jour où une Sœur a l’idée d’ajouter une herbe mystérieuse à la préparation. Le succès du nouveau cordial est stupéfiant. Le dernier miracle de Marie-Jeanne ?
(Il existe une version masculine de ce texte : Miracle au monastère de Sainte Marie-Jeanne)

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Dare-dare

Marc a invité a une soirée bridge les Dubois de la Patinière : Jean-Eudes, très austère, Marie-Agathe, effacée et réservée (en apparence…) et leur fils Charles-Edouard, étudiant brillant mais coincé au possible.
Marc espère bien faire signer à Jean-Eudes un contrat, qui le sortirait d’une situation financière compliquée.
Il pense avoir tout prévu pour que son plan réussisse ; il a notamment demandé à sa charmante fille Maud d’être présente, Charles-Edouard étant épris d’elle (ce qui n’est pas réciproque !).
Tout prévu, vraiment ? En tous les cas, pas l’arrivée de sa maîtresse Lilly, plus qu’olé-olé, qu’il n’a d’autre choix que de faire passer aux yeux de son épouse Julie pour Cléa, censée remplacer sa tante Dominique, la femme de ménage absente (théoriquement) pour la soirée.
Que va-t-il arriver quand débarquent inopportunément Dominique et Cléa ? Sans oublier Bob, un apiculteur venu s’occuper d’un essaim, au fort penchant pour la boisson et les jeux de mots lourdingues, ou encore Andy, petit ami de Lilly, brute épaisse de première.
Marc arrivera-t-il à se sortir de ces quiproquos et imbroglios qui s’enchaînent à un rythme endiablé, sans qu’il puisse les contrôler ? Rien n’est moins sûr…
Dare-dare est une comédie dans la plus pure tradition, avec des portes qui s’ouvrent et se ferment sans cesse et des personnages hauts en couleur comme on les aime !

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Le Bébé

Caroline et François rendent visite à Marie-Claire qui vient
d’avoir un bébé qui s’avère monstrueux. Comme pour beaucoup
d’hommes, voir les bébés des autres l’ennuie profondément. Il manque
de tact, mais il n’est pas exclut que cela ne soit pas volontaire. Caroline,
quant à elle, essaye de rendre la visite supportable, malgré les gaffes de
son mari. Au final, en dépit de tous ses efforts, la palme de la gaffe
revient à Caroline.

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Les toqués du 6 bis

Quand Pierre Loréol, propriétaire des entreprises LOREOL, shampoing et cosmétiques, société du CAC 40 fait un Burn Out… il est au bout du rouleau ce brave monsieur ! Son meilleur ami lui parle d’une sorte de résidence où l’on s’occupe des personnes comme lui, c’est à dire des gens très riches… “là bas on te chouchoute, tu pourras lâcher prise, te ressourcer…” Pierre accepte. après tout, c’est sa dernière chance … seulement voilà, au lieu de se rendre au numéro 6 il se trompe et va au 6 bis ! et le 6 bis, ce n’est rien d’autre qu’un “asile” pour débiles mentaux peu profond… Pierre Loréol est persuadé d’être au bon endroit : les gens y sont charmants, un peu étranges, certes, mais après tout, lui même, n’est t’il pas un peu dérangé ?

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Le rêve des tropiques

L’action se situe de 1984 à 1987,à la Guadeloupe, où Bonnie et son fils, Édouard, dirigent une plantation de bananiers. Avant de venir vivre à Sainte-Anne, Édouard étai directeur d’une compagnie théâtrale sur Paris, avec sa femme et la demi-sœur de celle-ci.
Les membres de la famille : Bonnie, Édouard, Françoise (sa femme), Raphaëlle (sa demi-sœur), Émilie (fille d’Édouard et Françoise) et Justin (petit-cousin de Raphaëlle) se retrouvent au petit-déjeuner. Le soir, Françoise, Raphaëlle et Justin partent danser en boîte. Au retour, ils ont un accident de voiture, dans lequel Françoise perd la vie. Raphaëlle “couvre” Justin qui avait pris le volant sans permis, sur l’insistance de Françoise.
Il s’ensuit une période de deuil (de deux ans) difficile pour tous car Françoise était une personne exceptionnelle, très aimée. Raphaëlle en particulier l’admirait et vivait un peu dans son ombre. Elle tente de retrouver du travail comme comédienne, cherche à quitter la plantation et son climat délétère. Elle veut aider Justin à trouver sa voie et faire son deuil en dépit de sa culpabilité, comme elle veut sortir de la relation ambigüe avec Édouard. Elle passe des castings, dont l’un se termine mal après la tentative de viol du metteur en scène.
Trois ans après l’accident, Raphaëlle est bouleversée par la découverte d’une lettre que Françoise lui avait cachée, et qui modifie totalement son point de vue sur Françoise, la libérant de sa dépendance. Dans le même temps, elle reçoit une proposition de travail intéressante. Elle a enfin trouvé le moyen de partie grâce à un contrat de comédienne. Justin aussi va revenir en Métropole, pour suivre une formation en informatique.
La dernière scène rassemble tous les protagonistes pour un dernier petit-déjeuner .

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Alors, qu’est ce qu’on boit ?

Les 30 ans de mariages de Peter et Sandy… ça se fête non ? tout est prévu et rien n’a été fait au hasard… les 2 belles mères qui se détestent ? aucun problèmes, ça va gérer ! et puis, il y a de quoi boire, on va s’amuser … Quoi ? on a oublié les boissons ? aie ! ça démarre mal cette histoire … bon, le voisin invité par politesse a amené une bouteille, ça devrait le faire… Quoi ? du vin bio et sans alcool ? houlà, ça ne va rien arranger du tout ça, c’est même le contraire … on dit “in vino véritas” et bien on dira, “no vino, véritas quand même !! à consommer sans aucune modération !!

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L’Amour du cirque

Par on ne sait quelle facétie du hasard, deux conceptions du cirque vont se
retrouver confrontées. L’une, brutale et sanglante : l’époque gallo-romaine,
l’autre, moderne : sans doute plus artistique. Quoiqu’il en soit, les personnages
des deux époques sont las de leur condition et souhaiteraient une évolution de
leur art. Ils ne vont pas être déçus !

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La Soubrette chic/Le Majordome

Une femme demande à son employée de maison si elle n’aurait pas
vue « Monsieur » mais elle a toutes les peines du monde à obtenir une réponse
satisfaisante en raison d’un quiproquo qui s’installe dans la conversation. Il faut
dire qu’elles n’évoluent pas au même niveau de langage, ni dans les mêmes
sphères…
Ce texte existe aussi sous le titre : Le majordome et se conjugue donc au
masculin avec quelques variations.

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